La réédition de Nous avons les mains rouges de Jean Meckert, soixante-treize ans après sa première parution, est l’occasion de célébrer un texte fort et un romancier rare, dont le talent est encore scandaleusement méconnu. Lire la suite de « Jean Meckert, injuste oublié des lettres françaises »→
Tout ce qu’on ne s’est jamais dit Editions Sonatine
1977, Lydia Lee, seize ans, est retrouvée morte au fond du lac, tout près de chez elle. A-t-elle été tuée ? S’est-elle suicidée ? Il faudra au lecteur attendre la fin du roman pour arriver à la révélation finale, foudroyante. Si la tension est permanente – et c’est là le premier tour de force de Céleste Ng – l’enquête ne demeure finalement qu’un prétexte pour évoquer ce qui est au cœur du roman : l’opacité des êtres. Lire la suite de « Celeste Ng, ou le masque tragique des apparences »→
« Empruntant à Audiard comme à Philippe Muray, (…) l’auteur nous régale avec une savoureuse tranche d’humour noir. » L’Express
On oublie jamais la première fois où on l’ouvre un livre de Jacky Schwartzmann.L’homme est un secret bien gardé de la littérature française, que les initiés se chuchotent à l’oreille, l’air entendu.
Et on les comprend.
« Emmanuel Macron et moi sommes nés la même année. Nous nous sommes croisés, à l’époque où il était Ministre de l’Intérieur. Enfant, il voulait être romancier, il est devenu président ; je voulais être Napoléon, je suis devenu romancier. » François Médéline, France Culture
« Comme à la guerre est un impeccable antidote au désespoir et à la bêtise » L’OBS’
Un temps journaliste, ce « névrosé de géographie », selon ses mots, décide en 2001 de partir à l’aventure. Destination, l’Amérique du Sud.
Il revient de ce voyage avec l’idée d’un premier livre, Gringoland.
« Cayre tient son affaire avec une verve folle de badass, grande gueule qui n’a peur de rien et conchie la bien-pensance, un sens de la formule abrasive qu’on imagine redoutable en prétoire » Libération
Ses romans policiers, Hannelore Cayre les nourrit à la source.Avocate pénaliste au barreau de Paris, elle est du genre à ne rien laisser passer.
Depuis des années, elles vit au contact des gros bonnets, des petites frappes, des dealers, des guetteurs, et des passeurs.
Une confidence, un témoignage, la retranscription d’une écoute téléphonique, elle les reçoit en avocate, mais également en romancière.
« Levison fait tilt à chaque page. Il est un enragé de la narration, un de ces conteurs qui emballent le public, parce qu’il est sans haine et d’une clairvoyance furibonde. » Télérama
Romancier nomade, Iain Levison est né en écosse en 1963, a grandi à Philadelphie, a résidé en Chine et a pour habitude de disparaître pendant plusieurs semaines sans laisser d’adresse.
Après un passage dans les Forces Spéciales de sa Majesté et des missions en Amérique du sud, il exerce pas moins de 42 métiers, une expérience qu’il raconte dans son premier roman : Les Tribulations d’un précaire.